Edgar vu par Julie
La citation qu’il a en poche :
« En route, le mieux c'est de se perdre. Lorsqu'on s'égare, les projets font place aux surprises et c'est alors, mais alors seulement, que le voyage commence. » - Nicolas Bouvier
Optimiste, idéaliste, intégrateur et communicatif, il est adepte de défis et de dépassement de soi. Son historique sportif l’emmène au réveil en dessous de 40 pulsations par minutes. Il a notamment participé à des marathons, Ironman ou à la patrouille des glaciers.
Toujours prêt à donner un coup de main et doté d’une grande capacité d’écoute, il croit fermement que « l’homme est fondamentalement bon ». Doté d’une compréhension étendue des principes du libéralisme, il ne perd pas de vue les deux facteurs déterminants de ses avis bien tranchés : éthique et idéal.
Habitué à partir à l’aventure en camping sauvage avec ses parents, son frère et ses sœurs, avec un Papa qui parcourt son atlas du monde à chaque occasion et sa maman qui a les yeux qui brillent dès que l’on parle de voyage, le voyage au sens pur était déjà bien présent dans la maison de son enfance. Après plusieurs expériences de 5 à 14 jours en vélo, il s’est lancé, , seul, dans un périple de 12'500 km pour rejoindre Pékin depuis Lausanne en 2008.
Etudes : Diplômé HEC de l’université de Lausanne, spécialisation Management
Sports : athlétisme (800m puis marathon), triathlon longue distance, ski de randonnée
Avant le départ et au retour : Consultant dans le domaine de l’énergie
Ses expériences à vélo : la Bresse à vélo (2000), 5 jours dans les cols alpins (2003), Lausanne-Nice et retour par 21 cols alpins (2004), Lausanne-Pékin (2008), Tour du lac de Constance en tandem (2011), Lausanne-Florence en tandem (2012).
Il a au compteur : plus de 50'000 km
Précédents voyages : Pays baltes en auto-stop (2006), Scandinavie (2009) ainsi que de nombreux autres pays européens.
Langues : français, anglais et allemand
Il attend avec impatience : les cols de la Cordillière des Andes, la traversée du Cambodge, manger dans les petites « gargottes » asiatiques, échanger sans parler à l’aide de ses mains.
Ce qu’il appréhende le plus : les bêtes rampantes ou à plus de quatre pattes
cé, seul, dans un périple de Lausanne en 2008